Cette semaine, tout plein de bonne volonté, je décide d'aller m'inscrire au vidéoclub en bas de chez moi. Quelle drôle d'idée me direz-vous, alors que nous vivons à l'époque du peer-to-peer et des connexions très haut débit qui permettent d'obtenir gratuitement n'importe quel film en quelques heures... Et bien justement, j'ai voulu tester la méthode « légale » ; voir ce que ça fait d'être un honnête citoyen respectant les profits des majors la loi de la République. Quelle drôle d'idée certes, mais il faut bien s'occuper :-)
Première bonne suprise : finalement descendre quelques étages et marcher 10 mètres pour avoir un film qualité DVD (et pas une version québécoise horrible, ou un screener affreux) c'est quand même plus rapide que le téléchargement, même à très haut débit (évidemment, le fait que le vidéoclub soit dans l'immeuble d'à côté aide beaucoup hein). Le vidéoclub (qui est une franchise Videofutur) est ouvert de 14h à 22h, ce qui est bien pratique pour aller louer un film après le boulot. Deuxième bonne surprise : ah le charme désuet des rayonnages remplis de boites vides du sol au plafond, les petites étiquettes à choisir et à apporter à la caisse pour obtenir son film, souvenirs d'enfance quand j'allais louer des cassettes VHS avec mon grand-père... Mais, malheureusement, les bonnes suprises s'arrettent là.